En Italie, un référendum sur les naturalisations et le droit du travail fait chou blanc, faute de votants
Introduction : Cette consultation était voulue par la principale confédération syndicale, la CGIL (gauche), qui avait collecté les 500 000 signatures nécessaires à l’organisation du scrutin. Le syndicat espérait ainsi rétablir des mesures de protection contre les contrats précaires, les licenciements et les accidents du travail qui avaient été supprimées par le passé.