Au Japon, la **démission silencieuse** gagne du terrain parmi les salariés
Introduction : Au Japon, un nouveau phénomène inquiète les entreprises : la “démission silencieuse”. De plus en plus de salariés cessent de faire des efforts pour leur groupe, se contentant du strict minimum. Selon une récente étude, cela concernerait aujourd’hui près d’un travailleur sur deux.
Extrait : Chez les moins de 30 ans, cette proportion atteint 47 %. Cette démarche consiste à ne plus faire que le minimum requis au bureau. Aucun comportement répréhensible n’est constaté, mais aucun effort n’est fourni au-delà des tâches assignées. Les mutations habituellement bénéfiques pour la carrière sont refusées, aucun zèle n’est consenti, et les heures supplémentaires sont bannies.