« Les partisans de Nicolas Sarkozy sapent les fondations de la démocratie en saturant l’espace public de bruit, de confusion et de fureur »
Introduction : Pour Philippe Conte, professeur émérite de droit pénal à l’université Panthéon-Assas, les juges n’ont pas statué selon leur bon plaisir ou leur ressentiment dans l’affaire dite « du financement libyen » : ils ont plus simplement appliqué les lois votées hier par ceux qui s’en plaignent aujourd’hui.
Note du rédacteur : La justice est un des derniers contrepouvoir existant encore en France, les médias n’en étant plus un!