Aide à mourir : les députés ont voté les cinq conditions cumulatives pour qu’un malade soit éligible
Introduction : Le droit sera accordé aux majeurs, français ou résidents, s’ils sont atteints d’une « affection grave et incurable » en « phase avancée » ou « terminale », s’ils présentent « une souffrance physique ou psychologique », et s’ils sont en capacité de manifester leur volonté de façon libre et éclairée.
Note du rédacteur : En gros, c’est une loi qui dans les faits ne répond pas au besoin exprimé par les français : pouvoir disposer de son corps !